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Aux portes de l'éternité

·260 mots·2 mins
Ken Follett
  1. Les Allemands de l’Est ferment l’accès à Berlin-Ouest. La tension entre États-Unis et Union soviétique s’exacerbe. Le monde se scinde en deux blocs. Confrontées à toutes les tragédies de la fin du xxe siècle, plusieurs familles – polonaise, russe, allemande, américaine et anglaise – sont emportées dans le tumulte de ces immenses troubles sociaux, politiques et économiques. Chacun de leurs membres devra se battre et participera, à sa manière, à la formidable révolution en marche. Tout à la fois saga historique, roman d’espionnage, histoire d’amour et thriller politique, Aux portes de l’éternité clôt la fresque magistrale de la trilogie du Siècle, après La Chute des géants et L’Hiver du monde.

La suite de la suite de La Chute des géants, parce qu’il manquait une petite partie au vingtième siècle pour faire tomber le Mur de Berlin. On continue à suivre les mêmes familles et personnages quand les tomes précédents; ces personnes ont grandi, passent de personnage principal à secondaire, et suivent le flux historique que nous connaissons, en y ajoutant toujours des détails croustillants qui rendent le récit plus vivant, et qui donnent parfois juste envie de trouver un documentaire pour approfondir certains thèmes et sujets.

En parallèle, on croise toutes les grands évènements et personnages importants de l’époque, de JFK à Gorbatchev en passant par Reagan, Nixon, Kohl, Jaruzelski, le bordel en Hongrie, en Pologne, le retrait du bloc soviétique, la crise des missiles de Cuba, la baie des Cochons, … Et ça fait du bien de sortir de là en ayant l’impression d’avoir appris ou revu quelque chose.