J’étais ressorti de Firewatch après un très bon souvenir, en me disant que je ne manquerais sûrement pas de remettre les mains sur un walking-simulator. C’est chose faite avec What Remains of Edith Finch (et je n’en suis toujours pas déçu).
Edith revient dans la maison familiale après plusieurs années, pour découvrir les mystères de son arbre généaloqique - spoiler alert ils sont tous morts dans des conditions particulièrement tragiques. Chacune de ces disparitions devient une séquence de gameplay pour le joueur ou la joueuse. Certaines sont particulièrement touchantes, et j’en venais à être partagé entre l’envie de continuer l’histoire et celle de retarder au maximum le moment fatidique qui allait immanquablement projeter mon avatar vers sa propre fin.
C’est une histoire qui envoie plein d’étoiles dans les yeux et qui pince un peu le coeur en même temps, qui fait réfléchir au sens de la vie et à ce que nous laissons derrière nous. C’est une histoire pleine de nostalgie.