Love, Death, Robots est une série de mini-épisodes indépendants, dont le point commun est d’être aussi crad’ et gores les uns que les autres.
On y trouve de l’humour (parfois bien degeulasse), du sang, des boyaux, de la rate et du cerveau (éparpillé, généralement), quand ce n’est pas juste du sexe ou des membres arrachés. C’est parfaitement glauque et totalement inadapté à un public jeune (= en dessous de 32 ans, c’est non). Il m’est arrivé de ne pas terminer certains épisodes tant la tension était au point de rupture: les cris de l’héroïne qui s’arrache un bras pour pouvoir profiter d’une poussée d’Archimède et pouvoir rentrer à la capsule est d’une crapuloserie proche de l’horreur.
Pour mettre tout ceci en scène, on a de tout: du dessin animé, du Cell Shading, de la 3D, … C’est fun et chaque nouvel épisode apporte son histoire (avec généralement un twist final bien cracra que l’on ne voit que rarement venir).
Les images sont belles, les histoires aussi (pour la plupart).