Imaginez un magasin où l’on vend depuis dix générations tous les ingrédients possibles pour se suicider. Cette petite entreprise familiale prospère dans la tristesse et l’humeur sombre jusqu’au jour abominable où surgit un adversaire impitoyable : la joie de vivre…
Cela se lit super-facilement, c’est bourré d’humour noir et d’idées que Franquin ne renierait pas et l’histoire ne stagne pratiquement pas. Le thème est cependant usé jusqu’à la corde (ahah). De là à le conseiller, bouaif… Sans plus.