Une nuit de décembre, un meurtre a lieu au Palace de Verbier, dans les Alpes suisses. L’enquête de police n’aboutira jamais.
Des années plus tard, au début de l’été 2018, lorsqu’un écrivain se rend dans ce même hôtel pour y passer des vacances, il est loin d’imaginer qu’il va se retrouver plongé dans cette affaire.
Que s’est-il passé dans la chambre 622 du Palace de Verbier?
Bon, en fait, il ne se passe grand chose dans ce livre. J’avais beaucoup aimé La vérité sur l’affaire Harry Quebert. Bien que l’écriture invite à un certain suspens, il n’y a pas vraiment d’introgue, juste des faits que l’on découvre au fur et à mesure, jusqu’à la cinqueu-cent-soixanteuuu-huitième (c’était plus court à écrire qu’à lire) page, où, oh ! joie, tout finit bien.
Au milieu de tout ce mic-mac, on trouve un hommage poignant à Bernard de Fallois, qui aurait tout aussi bien pu se trouver au début du livre, sans se trouve haché en petits morceaux dans une intrigue sans réelle savoir.
Un petit retournement de situation en plus ? Non, merci. Peut-être la prochaine fois ?