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Masters of Doom

·323 mots·2 mins
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A little bit about me

Masters of Doom is the amazing true story of the Lennon and McCartney of video games: John Carmack and John Romero. Together, they ruled big business. They transformed popular culture. And they provoked a national controversy. More than anything, they lived a unique and rollicking American Dream, escaping the broken homes of their youth to co-create the most notoriously successful game franchises in history—Doom and Quake—until the games they made tore them apart.

J’ai commencé les jeux vidéos aux alentours de 1992 avec une Megadrive et Sonic 2; je n’ai eu Doom que sur 32X, beaucoup plus tard, et cela me faisait “un petit peu peur”: en y réfléchissant, lorsque j’y jouais seul, je restais à faire des aller-retours dans la première pièce, en récupérant l’armure en haut des escaliers puis en ouvrant/fermant la porte automatique. Bref, je flippais.

Plus tard, je le rappelle d’un article dans Le Soir (le journal belge) qui vantait les nouveautés de Quake, et qui expliquait combien c’était exceptionnel. Encore plus tard, j’avais pu faire tourner Quake 2 (en 1997) en mode ultra-low sur ma machine de compét’ (non) de l’époque - qui devait être un Celeron 400, avec 128MB de RAM et une TNT2.

C’est vraiment agréable de voir d’où viennent toutes les idées qui ont menées à la confection de Doom, et de se dire que sans ces deux personnes, le domaine des jeux vidéo aurait sans doute évoluer différemment. Le développement de Quake aura été compliqué, mais pas autant que celui de Daikatana, dont je me rappelle vaguement du test sans en comprendre réellement la situation.

Le livre est juste génial, il se lit de bout en bout, sans interruption, et ne fait que relater une histoire (vraie) sur une forme de rêve américain.

Ce qui est sûr, c’est que John Carmack est un vrai génie (tout comme John Romero, mais dans une autre veine), et que j’ai vraiment pris plaisir à lire cette biographie.