Cela fait vingt-quatre ans que Katharina Haugen a disparu. Depuis, Wisting explore obstinément les archives de ce dossier non élucidé. Et personne n’a jamais pu déchiffrer ce qu’on appelle le code de Katharina : des chiffres, des lignes et une croix que la jeune femme avait griffonnés sur une feuille trouvée dans sa cuisine.
En général, je ne supporte pas les thrillers, rien que parce que l’auteur nous sort un tueur dont on n’avait entendu parlé que sur les vingt dernières pages. En général aussi, je ne supporte pas les huis-clos.
A la page 200, le « mouvement! » a commencé à augmenter ma pulsation sanguine. Le stress est monté, ma vitesse de lecture a augmenté de léthargique à superspeed, en essayant de capter des mots, réfléchir vite, voir si William allait se faire prendre.
J’adore les chapitres courts, incisifs. Parfois, seules deux pages avant de passer à la suite, accompagnés de micro cliffhangers. C’est la première fois que j’ai l’honneur de lire un huis clos à’dans les grands espaces norvégiens.
Fini à l’instant 👍 je n’ai pas réussi à le lâcher, au point de lire « encore un chapitre ou deux » avant d’aller bosser le matin.
Très agréable à lire, tendu à certains moments, tout en gardant une bonne logique.
<3
PS : un peu déçu par un “petit” détail malgré tout … Mais ce n’était pas le sujet de l’enquête, donc …