A 33 ans, Iris trimballe sa vie dans une valise. Théo, 18 ans, a peu de rêves, car ils en foutent partout quand ils se brisent. À 74 ans, Jeanne regarde son existence dans le rétroviseur. Rien ne les destinait à se rencontrer. Quand le hasard les réunit sous le même toit, ces trois êtres abîmés vont devoir apprendre à vivre ensemble. La jeune femme mystérieuse, le garçon gouailleur et la dame discrète se retrouvent malgré eux dans une colocation qui leur réserve bien des surprises. C’est l’histoire de trois solitudes qui se percutent, de ces rencontres inattendues qui sonnent comme des évidences.
Contrairement à un Guillaume Musso (qui ne me convient absolument pas), les livres de Virginie Grimaldi sont systématiquement « feel good ». Ils ne sont pas tous indispensables (loin de là), mais pour quelqu’un qui voudrait juste passer un bon moment ou démarrer la lecture (de romans), c’est parfait. Et avec les mots (très) justes.
Un vrai plaisir à lire, en vacances ou dans le métro, pour se rappeler de temps en temps que la vie est belle.