Des secrets bien gardés
Publié le 3 mai 2025C’est la suite directe de « La faute de nos pères » de Jeffrey Archer. Le moins que je puisse y trouver, c’est que cela dépeint parfaitement les pires traits de l’espèce humaine : des intrigues de famille, des mariages d’arrangement, des héritages et testaments modifiés en dernière minute, …
J’aime bien lire des livres qui détendent ou qui instruisent : le fait que certaines personnes soient totalement dénuées de morale, je le savais déjà.
En vrai, j’en suis arrivé aux deux-tiers du livre, et j’ai abandonné. Cela puait le piège, tel un Maroille planqué derrière un radiateur en hiver : entre les anciens ennemis de Giles qui voulait lui faire payer (… lui faire payer quoi, en fait ?), ou son ancienne femme qui revenait après s’être faite rejetée, mais en fait, c’est le père de l’ami du neveu de Giles (Sebastian. Suivez un peu !) qui est visé et qui va mourir splatché entre deux camions sur la route de Cambridge.
Bref. Plus envie. Selon les droits du lecteur de Daniel Pennac, j’ai « le droit de ne pas finir un livre ».
Dont acte.