Norferville

Publié le 29 juin 2025

Purée, mais c’est degueulasse : au premier chapitre, on a un viol, aux deuxième des descriptions de sévices - pour « l’affaire chalumeau », des fois que ce ne soit déjà pas assez visuel, on ajoute une couche d’ironie - et au troisième, un meurtre avec murilations. Une sorte de suite psychiatrique au « bonheur est dans le pré » (sans les chansons).

Notez qu’on y apprend plein de choses intéressantes sur la nature humaine - comme sur Robert Pickton, ce tueur en série de Vancouver qui abattait des jeunes filles, pour nourrir ses cochons et revendre leur chair à des labos de cosmétiques. On est loin de Winnie l’ourson et des chansons de Walt Disney. C’est super documenté, l’ambiance y est totalement en adéquation avec l’histoire…

… Juste qu’on nous sort un tueur dont on n’a jamais entendu parlé, pour clôturer l’histoire. Et je trouve toujours ça dommage.