J’ai découvert Les Beaux Etés un peu par hasard, sous forme d’une promo durant les 24h de la bande dessinée. A deux euros le livre, je me base généralement sur les dessins, en espérant que l’histoire sera bonne. Et c’est souvent le cas.
Je ne sais plus exactement qui en parlait ( Iceman ?), qui disait que les dessins relativement simples (jolis, en fait) abordaient en profondeur des problèmes réels.
Le dernier tome est sorti tout récemment et reste tout à fait dans la même lignée. On pourrait penser que la série s’essoufle après (déjà!) six tomes, mais elle se renouvelle continuellement, tout en conservant sa propre patte.
Bref, coup de coeur de légèreté et de bêtise humaine qui pique.