On joue une oie, dont l’objectif est de faire chier son monde. Pour y arriver, on peut cancaner, jouer du bec ou battre des ailes.
Notre première mission en tant qu’oiseau de l’enfer sera de rentrer dans le potager d’un jardinier, de mettre certains de ses outils à la flotte ou de se constituer un pic-nic en volant plusieurs ingrédients.
Un peu plus loin, il conviendra de se constituer un petit panier de courses en pillant sauvagement (mais sans se faire voir) un petit marché sur la place du village, de faire en sorte qu’un enfant perde ses lunettes où rachète un jouet qui était à lui.
Sur le fond, ça a l’air très chouette et hors des plates bandes habituelles. Les bandes annonces vont d’ailleurs dans ce sens là.
Le soucis, c’est qu’il n’y à généralement qu’une seule manière d’arriver à nos objectifs: si elle ne fonctionne pas, il suffit de réessayer, ou de tomber sur le bon objet au bon moment. Le sentiment de liberté est un peu tronqué, et c’est un peu dommage: avec le pitch, je m’attendais un peu à un Métal Gear déguisé en palmipède blanc.
Bref, j’ai un peu abandonné en cours de jeu. Je pense que cela peut être sympa à regarder sur une vidéo YouTube, mais pas obligatoirement à subir en jouant soi-même.
