Dead Cells
Entendu au boulot:
Dead Cells, c'est quand mĂȘme trop bien!
Hu ? J'en avais entendu parler dans CanardPC (encore eux! Ils ne font rien que sucer la substantifique moĂ«lle de mon salaire mensuel durement gagnĂ© Ă la labeur de mes petits doigts boudinĂ©s, et empĂȘchent le bonheur de mes enfants en transformant les allocations familiales en budget PS4, ces fourbes).
Dans les grandes lignes: ça bouge super bien, les combats sont extrĂȘmements gratifiants (et violents...), la musique accompagne superbement bien la jouabilitĂ© - je me suis surpis Ă sautiller gaiement en rythme - mĂȘme si elle en devient un chouia rĂ©pĂ©titive, Ă force - et les contrĂŽles sont aux petits oignons: roulades, pouvoirs spĂ©ciaux, attaques, sauts, ...
Au niveau de la (re)jouabilitĂ©, j'Ă©tais tout fier de moi Ă avoir terminĂ© le jeu, aprĂšs avoir abattu le gros-mĂ©chant de fin et dĂ©capitĂ© le super-gros-mĂ©chant-de-fin â, pour me rendre compte que ... que le jeu recommençait dans un niveau de difficultĂ© supĂ©rieur đą. Bon, on recommence tout, avec des pouvoirs en plus et des ennemis encore plus dangereux.
Chaque parcours est généré aléatoirement (en procédural ?), et les nouveaux pouvoirs acquis (téléportation, ...) permettent d'accéder à des nouvelles embranchements, qui permettent de varier (et de changer du tout au tout) les niveaux par lesquels on circule avant d'aller trucider (ou de se faire trucider par) le gros méchant de fin.